Samedi 11 novembre 2017
Escalade et chocolat
Promenade gustative et historique dans les rues de Genève
Vingt-six Mordus et Mordues se retrouvent dans le salon privé de Ladurée aux Bergues et savourent une tasse de thé ou de café en écoutant Nicolas nous raconter l’histoire de St-Gervais.
Qui dit Ladurée pense naturellement à macaron et nous en recevons deux – chocolat et chocolat-orange – mais nous dégustons également trois chocolats camées de la collection « Les marquis de Ladurée ». Nous apprécions grandement l’ambiance feutrée « Ladurée », théière en argent, vitrines regorgeant de pâtisseries et de macarons tels des arcs-en-ciel, mais bientôt nous repartons suivre notre programme Escalade et chocolat.
Sur l’île Rousseau, Nicolas nous fait découvrir l’histoire de cette île et nous apprenons entre autres que c’est une future victime de l’Escalade, Nicolas Bogueret, maître-maçon, qui lui donne sa forme d’éperon.
Notre périple nous emmène chez Sprüngli où nous apprécions grandement une truffe « Cru sauvage » et un Luxemburgerli au chocolat, spécialités de la maison qui ont déjà 60 ans ! Nous en recevons quatre à savourer après notre balade.
La chocolaterie Zeller est notre prochaine étape mais, avant d’entrer dans la boutique, nous admirons sa devanture si tentatrice. Brigitte Zentilin, la maîtresse des lieux, nous reçoit avec sa gentillesse accoutumée et, à nouveau, nous dégustons des chocolats puis repartons avec un sachet de douceurs : Nespresso, Marrakesh, 50 ans, Cabosse, Rigoletto, Piemontais, tous ces noms évoquent de délicieuses saveurs.
Nous grimpons au Bourg-de-Four où Nicolas résume l’histoire de cette place puis allons guigner la demeure du bourreau de l’Escalade, le fameux Tabazan.
Un petit tour sur le bastion St-Léger afin de commémorer la bataille de l’Escalade, puis notre itinéraire nous amène devant les plaques commémoratives de la place de Neuve et de la Corraterie.
Nous admirons les deux belles et alléchantes marmites de Laurent Exbrayat – une au chocolat noir et une au chocolat au lait – avant que nos jeunes Mordus et Mordues ne les fracassent en prononçant la phrase rituelle « Qu’ainsi périssent les ennemis de la République ! »
Des gourmands de tout âge dévorent les deux marmites … et se promettent de revenir bien vite.